Texte à méditer : Les cons de l'an passé se sont nettement améliorés ... Si, si ... Ils ont acquis un an d'expérience supplémentaire ... ![]() |
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La suite ... Mardi 5 : Nous décidons d'aller jusqu'aux " Chutes de Karera " et partons de bonne heure, car la route est longue.
L'une des chutes de Karera, il y en a quatre... Il faut emprunter une piste de 14,5 km pour y avoir accès et quand je dis une piste, c’est une piste…
Arrivé à Karera, une corde nous interdit l’entrée, un homme vient à nous et nous dit qu’il y a une taxe communale à payer pour entrer de 2.000 FBu et qu’en bas du chemin il y aura encore 10.000 FBu par personne également à payer (SIC). On se dit que pour l’entretient du site cela vaut peut-être la peine … Hé bien, il n’en est rien !
Aucun entretient du site ne semble avoir été fait depuis des lustres. Arrivé en bas de ce chemin plus que cahoteux , nous arrivons au péage du site où l’on nous demande si nous voulons une quittance, nous répondons dans l’affirmative…
Là idem, aucun entretient du site et c’est plutôt désolant comme panorama, il faut ajuster l’angle de prise de vues des photos pour ne pas avoir les détritus et les espèces de bancs cassés sur les tirages. Un guide vient à notre rencontre et nous explique qu’en fait il y a quatre chutes et qu’il faut monter un escalier de terre pour avoir accès à l’une d’elle, vu l’état de délabrement, nous ne nous y risquons pas…
La visite aura duré moins d’une demi heure et n’en vaut pas la peine si ce n’est que pour la photo pour dire que vous avez vu. Sur le retour, nous décidons de passer par Gitega et de nous y arrêter pour y manger un morceau. Mercredi 6 : Cette nuit jusqu'au levé du jour, petite pluie persistante à l’affiche, donc encore un jour sans plongée.
La drache nationale journalière ... Jeudi 7 :
Vendredi 8 :
Invitation chez des amis vers 20h00. Samedi 9 : Invitation à prendre un verre chez des autres amis et allons manger une pizza chez Waka Waka ( cannelloni touf touf )…
Dimanche 10 : Nous commençons à tousser, sans doute attraper au contact de l'un ou l'autre la veille. Lundi 11 :
La toux ne passe pas.
Mardi 12 :
La toux s’aggrave pour nous deux, chez moi, cela semble descendre sur les bronches et chez mon accompagnatrice cela persiste aussi. Nous allons vers Ijenda et prenons des pistes entre les collines, mais comme très peu d’indications sont présente, nous décidons de rebrousser chemin au bout de quelques temps. Mercredi 13 :
Il semblerait que la bronchite se soit installée chez moi et en passe de l’être chez mon accompagnatrice. Fortiche quand même, pas loin de 30° c. et ont se payent une bronchite.
Jeudi 14 :
Petit déjeuner au centre ville à 8h45.
Au soir , un couple d’amis nous invitent à manger une brochette de langue de bœuf dans un Bar-resto à la sortie de Kinindo en direction de Kaniosha...
Ci dessus, Sangala au poivre vert ... L'eau m'en vient à la bouche Vendredi 15 : Au levé du jour ( 6h00), il pleut des cordes. Vers 8h15, nous allons prendre notre déjeuner en ville au café gourmand. Nous allons à Kaniosha donner du matériels scolaires dans une école primaire.
Encore merci pour eux aux généreux donateurs... Vers 11h00 nous faisons la visite du " Musée vivant " et vers midi nous allons manger un morceau.
Crocodile du Nil
Le soir, nous avons rendez-vous avec un couple d’amis burundais pour aller manger un bout ou nous allons vers 19h30. Samedi 16 :
Rendez-vous chez des amis (rencontré en 2001 et retrouvé via Facebook il y a peu de temps), pour un poulet moambe vers 12h30.
Le soir, en commençant à ranger les valises, je constate que le sceau de 5 litres, qui aurait du servir à transporter les poissons entre le lac et l’hôtel est cassé, faudra se débrouiller pour en avoir un autre. Mon accompagnatrice a une astuce pour recoller en partie la casse. Il y a toujours plus dans deux têtes que dans une seule... Lundi 18 : Levé de bonne heure (6h00) départ 7h00 pour prendre le petit déjeuner au centre ville et puis direction l’unif. revoir un copain au Musée du Lac Tanganyika. Malheureusement, il a eu un décès dans sa famille et n'est pas présent aujourd’hui, nous y retournerons plus tard. Donc, nous roulons en direction de Rumonge sans but précis et prenons la bifurcation vers Buriri – Makamba (RN16) et roulons à petite allure jusqu’à Buriri où nous prenons de l’essence et allons quelques kilomètres plus loin jusqu’au moment où la RN16 devient une piste et rebroussons chemin. Nous rentrons sur Buja et allons manger un bout vers 13h00 puis petite sieste à l’hôtel et petit resto (Kasuku) pour terminer la soirée. Mardi 19 :
Levé à 6h00 et direction Centre ville pour le petit déjeuner.
C'est d'ici que proviennent les poissons pêchés.
Plongée et pêche à Magara.
Pour ce qui est des Tropheus, on en a pêché une petite vingtaine, trois Julidochromis marlieri et quelques N. brichardi. Par la même, tenté de prendre des X. flavipinnis (3), mais ils stressent tellement qu'à peine pêchés, ils se retournent, donc inutile de tenter, et remise à l'eau.
Tropheus sp. black Rutunga & Xenotilapia flavipinnis de Magara
Excusez pour la qualité, mais la visibilité n'était pas au top because la saison des pluies et le vent...
Le retour, (une heure de route), se fait sans trop d'encombres mais sans oxygène, les piles sont restées dans le coffre de la voiture depuis hier et elles se sont déchargées complètement, sans doute dû à la chaleur... Mercredi 20 : Un N. brichardi est mort pendant la nuit. Le reste va bien, changement d'eau partiel (eau prise au lac, 4 sacs de 4 litres) l'acclimatation se fera à la maison, pas avant. J'ai déjà tenté de renouveler partiellement l'eau (1/5) par le passé avec de l'eau de ville, et cela ne s'était pas bien passé pour les poissons, donc j'en ai tiré les conclusions qui s'imposaient... A éviter absolument. Jeudi 21 :
Dernier petit déjeuner au centre ville…Puis retour à l’hôtel pour la préparation et emballage des poissons.
Après, tractations et pourparlers avec les policiers, ils finissent par laisser aller la valise. Les gars qui chargent les valises de l'autre côté du tapis roulant, ne sont pas plus délicat malgré l'autocollant "FRAGILE" apposé sur la valise, que celle qui visionnait les bagages. On me rappelle pour me dire que ma "valise coule", du coup rebelote ouverture de celle-ci et constat d'un autre sac explosé. Un cerclage de plastic de la caisse m'est conseillé, mais j'ai un doute sur le passage de l'oxygène au travers des sacs…
Je n'avais pas totalement tort à ce sujet, sur les trois sacs restants, seul un sac de survivants ( 2 julidochromis marlieri, 1 alevins de Tropheus et 5 N. brichardi dont un qui ne survivra pas).
Julidochromis marlieri Magara
Neolamprologus brichardi Magara Conclusions :
Faudra que j'y retourne assez vite pour oublier les péripéties à répétition de ce périple 2013 qui ne restera pas dans les anales...
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